Décalage horaire

Il y a un décalage horaire de 6h. Ici, il est 7h30 du matin, tandis qu’à Paris, il est déjà 13h30. Je ne trouve pas que c’est un décalage trop dur, mais il n’empêche qu’en me couchant à presque 2h du matin, je me suis réveillé vers 6h. Mais à la limite, ce n’est pas plus mal, ça me fait du temps pour faire certaines choses sur le net, dont écrire ici.

Je suis dans un hôtel assez près d’une rue principale. Du coup, j’entends vraiment bien la circulation qui ne se repose jamais. Par contre, je reste sous le charme quand j’entends une voiture de police ou une ambulance avec leur sirène bien à eux.
J’ai été amusé d’apercevoir hier une voiture toute noire assez grosse (vous savez, les voitures du FBI qu’on voit dans les séries américaines) qui roulait vite, slalomais entre les voitures avec sa sirène allumée et pas mal de lumière rouge et bleue sur la voiture. Les Américains n’y ont pas fait attention une seule fois, alors que moi, je ne l’ai pas lâché des yeux. Un vrai touriste, je sais !
Pour continuer dans les remarques qui, parfois, ne servent un peu à rien, je pourrais dire que dans les avenues, beaucoup de restaurant ont une sorte de cave accessible par l’extérieur, avec des portes directement au sol et un escalier assez casse gueule pour descendre. On passe son temps à marcher sur des grilles. Et puis il fait faire gaffe où l’on met les pieds… Un accident est vite arrivé ;)

Aujourd’hui, il fait moche à NY. Mais c’était prévu. Mauvais temps et pluie. C’est vrai que ça ne donne pas envi de sortir mais c’est pas grave. On va dire que je vais profiter du mauvais temps, car théoriquement, à partir de demain, c’est que du beau temps et la température qui monte. Je me garde évidemment Central Park pour les jours à venir car ça doit vraiment être magnifique sous le soleil. Et peut-être que ça a également son charme sous la pluie, allez savoir…

Ce qui est embettant pour moi ici, c’est que je n’ai pas un très bon niveau d’anglais. Je me débrouille comme beaucoup pour comprendre ce qu’on me dit, mais alors pour enchaîner une phrase, il n’y a plus personne. C’est dommage, je ne me sens pas assez libre. Remarquez, lors de mon voyage en chine, je me suis baladé seul dans Hong-Kong, et ce n’est pas pour autant que j’ai eu besoin de parler anglais. Et puis, comme je le dis toujours, on arrive toujours à trouver un moyen de se faire comprendre. « Quand on veut, on peut ! »

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