Du première iPhone à aujourd’hui

En regardant les statistiques de mon blog, je suis tombé sur une page, rarement visitée – et à juste titre – puisqu’elle n’est pas très récente. Son titre est : j’ai l’iPhone. Elle a été écrite en novembre 2007 ! C’est la bonne période pour en parler puisque l’iPhone a fêté hier, lundi 9 janvier 2017, ses 10 ans !
Je m’en souviens bien, c’était un grand moment. L’annonce du premier iPhone avait fait beaucoup de bruit. C’était l’arrivée d’une révolution de la part d’Apple. Un nouveau type de téléphone, une nouvelle technologie. J’étais complètement sous le charme…

Je me souviens du jour où je l’ai reçu, ouvert et testé pour la première fois. La première chose qui m’a marqué, c’est la fluidité de l’écran tactile. C’était la première fois que c’était aussi parfait. L’appareil était beau et original. Tout était beau dans le style d’Apple.

Ce qui m’amuse, c’est de lire les restrictions de l’époque auxquelles nous contraignait le premier téléphone de la firme. Pas de MMS, pas d’échange de fichier par bluetooth. Sans parler des accusés de réception, ce qui en a fait frémir plus d’un (moi le premier). Aujourd’hui, qui s’en soucis encore ? Avec iMessage et toutes les messageries qui passent par le net, ces problèmes sont très loin, mais surtout oubliés.

Nous sommes aujourd’hui avec un téléphone qui possède la 4G, un espace de stockage de plus important, tout comme la RAM. L’écran Rétina qui est devenu indispensable, le Touch ID ou le 3D Touch que l’on n’aurait pas pu imaginer une seconde, une finesse d’appareil de plus en plus incroyable, mais surtout un OS qui s’améliore chaque année, de plus en plus paramètrable et qui nous donne accès à de nombreuses applications, parfois excellentes.

Le téléphone portable est devenu aujourd’hui notre nouveau doudou, notre nouveau compagnon, ou meilleur ami… un peu de tout ça. Je ne m’en sépare absolument jamais et je n’ai aucune envie de vivre sans. Aussi bien personnellement que professionnellement, j’en ai un véritable usage quotidien.

Je me suis pourtant séparé rapidement de cet iPhone qui faisait, de mémoire, seulement 8 Go. Je n’ai jamais aimé le tactile et je n’aime toujours pas. J’étais un amoureux des Blackberry et de leur clavier plus que parfait. Ça me manque toujours d’ailleurs. J’écris deux fois plus vite sur un clavier physique. Mais aujourd’hui, difficile de rivaliser avec les iPhone. Même les Samsung, pour ceux qui aiment. Pourtant, le dernier Blackberry que j’ai eu l’occasion de manipuler, le Priv (je crois) est un vrai bijou qui nous fait oublier les anciens défauts de cette marque. Le catalogue des applications Android est à notre disposition, le clavier tactile est toujours aussi parfait mais il est également sensitif : quand on travaille avec cette machine, c’est le top…

Pourtant, étant équipé par Apple de la tête au pied (iMac, MacBook Pro, MacBook Air, iPad, Apple Watch), il est difficile de coupler d’autres solutions avec celles-ci maintenant. Surtout avec l’arrivée d’iCloud, qui a permis une vraie cohérence entre ses machines. J’aurais du mal à m’enlever de l’esprit qu’avoir des appareils créés par une marque et un logiciel, à l’intérieur, créé également par celle-ci, ne soit pas ce que l’on peut avoir de mieux aujourd’hui.

Depuis l’iPhone 4, je suis redevenu fidèle à la pomme de Steve Jobs. Je ne suis pourtant pas convaincu par l’ensemble des choix que prend l’entreprise aujourd’hui. Trop de secrets, pas mal de changements de direction, quelques ratés auxquels nous ne sommes pas habitués…

Bref, le temps de la version d’iOS 1.1.1 dont je parlais dans mon billet est loin, mais je suis heureux d’avoir reçu et utilisé un iPhone, 3 mois avant sa sortie officielle en France !

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