Jamel Debbouze

Depuis longtemps je devais le faire, et aujourd’hui, j’ai les repères pour écrire un deuxième article sur Jamel Debbouze.

Jamel fait beaucoup parler de lui actuellement. Déjà pour la sortie de son dernier film (Angel-A, de Luc Besson) qui nous fait découvrir une nouvelle facette de sa personnalité, mais aussi pour les faits de sociétés actuelles, j’ai nommé les émeutes en banlieue.

Avec la sortie de son dernier film, Jamel est partout ! Fogiel, Ardisson, Ciné Live, Le Parisien… Période de promo oblige. J’ai lu les interviews de Ciné Live et du Parisien, la plus marquante étant surtout la deuxième, puisque c’est les lecteurs que posent les questions à Jamel.
J’ai donc lu l’interview de Jamel Debbouze paru hier matin dans Le Parisien. Et je ne regrette pas de l’avoir acheté rien que pour ça.
On y découvre un Jamel authentique, sincère, décidé, mais surtout, humain. Plus le temps passe, plus nous arrivons à le cerner. Et en lisant plusieurs articles le concernant, on voit toujours les mots que j’ai cité pour le définir. Comme il le dit si bien, il est resté le même mais avec un compte en banque. Il dit autre chose que j’aime beaucoup : « On a tous besoin de reconnaissance ». C’est bien vrai même si peu de gens l’avoue.
Il y aurait beaucoup de chose à écrire sur l’interview de Jamel. Il dit de nombreuses choses intéressantes. Par exemple, une chose qui revient souvent dans beaucoup d’interview, c’est sa mère. C’est mignon la façon qu’il a de mentionné la femme de sa vie dans chaque interview…

Bref, j’aime encore et toujours cet artiste et j’espère qu’il va continuer dans la même lancé.

Quelques phrases que j’ai apprécié :

Je suis passé de la plus basse classe sociale au VIe arrondissement. Aujourd’hui, je peux entrer dans n’importe quel restaurant ou magasin sans avoir honte. C’est mon plus grand luxe. 1.68m…enfin 1.66 m, un bras dans la poche, rebeu : normalement, t’es pas le bienvenu chez Gucci ! Mais par la force des choses, je suis le bienvenu.

On a tous une partie féminine, aussi bizarre que cela puisse paraître. Quand tu le sais et que tu l’acceptes, tu deviens un homme.

La vérité, je vais la chercher dans le regard de ma mère.

Si je touche autant d’argent, c’est parce qu’on me le donne. J’ai travaillé pour mériter ce salaire.