Bilan des vacances

À l’heure où j’écris ces lignes, j’approche lentement mais sûrement de la fin de mes vacances. J’écris pour la première fois en une semaine pour mon blog. Je n’étais jamais resté aussi longtemps sans écrire pour Informacyde, mais ce soir, j’ai eu envi de m’y remettre. Et c’est vraiment un plaisir de retrouver cette page blanche de mon ordinateur, sur laquelle j’ai le pouvoir d’écrire tout et n’importe quoi.
Il s’est passé pas mal de choses pendant ses vacances. Pas vraiment en tant qu’événement mais plutôt dans ma tête. J’ai pris beaucoup de temps pour réfléchir, pour lire, pour me remettre en question et commencer à regarder vers l’avenir. Mon cursus scolaire est terminé. J’entame dans quelques semaines mes études secondaires. Je passe à une seconde étape. Les vacances sont finies même si je ne les ai jamais commencées. Je me suis posé beaucoup de question. Je vais essayer de raconter tout ça dans cette note, mais comme d’habitude, tout passe dans mon esprit et s’envole avant de repasser plus tard… Je vais donc essayer de vider mon sac comme je le peux, mais je vais certainement en oublier la moitié !

Commençons dans l’ordre. Peut-être que si j’arrive à « raconter » mes vacances dans l’ordre, j’arrivais à ne pas oublier 10 000 choses.
Je suis allé visiter Chamonix. Je suis resté 1 nuit dans ce petit village de montagne car le lendemain, je devais prendre la route pour l’Italie. 1 200 kilomètre, même à deux conducteur, c’est fatigant, donc je me suis arrêté une nuit. Sur la route, j’ai testé une nouvelle petite machine que j’ai achetée avant de partir. Un détecteur de radar. C’est pas mal fait ces petits engins. Ca se met à jour gratuitement par Internet et ça vous prévient des radars fixe (ils sont indiqués, certes, mais je suis souvent concentré sur ma route et non sur les panneaux), préviens des zones de contrôle mobile (c’est-à-dire des zones où la police à l’habitude de nous guetter avec leurs petites jumelles), et pour finir, ça donne votre vitesse en temps réelles, puisque vous êtes connecté à un satellite. Et surprise, vous pouvez enlever environ 8 Km/h par rapport à ce que vous indique votre compteur. Donc à 130 Km/h, vous n’êtes en réalité qu’à 122 Km/h ! Même avec ce genre de machine, on est jamais à l’abri de se faire flasher. Ça à d’ailleurs faillit m’arriver. Je roulais vers Chamonix quand j’observe totalement par hasard un camion dans le sens inverse du mien qui fait quelque appel de phare. Comme tout conducteur, je sais que cela signifie qu’il y a des flics dans le coin. J’ai donc ralentit instinctivement, et effectivement, il y avait la police au bout d’une ligne droite qui nous attendait avec des jumelles. Merci mille fois à ce conducteur qui, même s’il lit ses lignes ne saura pas que c’est de lui que je parle, car sans ça, je ferais moins le malin à cette heure-ci ! Je ne suis pas très fière de moi car sur les 1 200 Km, j’ai fait 1 000 Km à moi tout seule avec une vitesse relativement élevée. C’est pas très bien mais en même temps, je ne supporte pas rouler en dessous, car je trouve cela endormant. Cela dit, il y a toujours des gens qui roulent plus vite que vous, mais ce n’est pas une raison.
Chamonix est une très jolie ville. Plein de commerce, plein de monde… La fraîcheur de la montagne était présente, malgré la saison. De ma chambre, je voyais le mont-blanc, et cette fameuse neige qui ne disparaît jamais ! Ça m’a bien évidemment rappelé ma colo au ski en février, même s’il me faut moins que ça pour y penser.
Le lendemain matin, j’ai repris la route l’Italie (pas très loin de Venise). J’ai conduit pour la première fois de ma vie dans le tunnel du mont-blanc qui fait 12 Km. Je voulais le faire au moins une fois ; pas que ce soit mythique, mais c’est une chose que je voulais faire, c’est sans explications. Mais au final, à la sortie, on se rend compte qu’il n’y a rien d’extraordinaire à cela. La chose qui a plus retenu mon attention sur toute cette route, c’est le bordel des routes italiennes. Sur les 600 Km que j’ai parcourus, une bonne moitié était en travaux, ce qui fait que je me retrouvais sur deux files, avec des camions dangereux qui ne tenaient pas leur ligne droite et qui passaient leur temps à se doubler entre eux. Sans parler des automobilistes complètement à l’ouest qui déboîte sur la file de gauche pendant que vous êtes en train de rouler vite et que donc, forcément, vous êtes obligé de freiner pour ne pas lui rentrer dedans. C’est tout le temps. Pour conclure, je dirais que j’aurai pu faire de beaux accidents tout au long de cette route dangereuse !
Assez de parler de tout ça. La route, tout le monde connaît. Pour ce qui est de l’Italie, je n’ai pas grand-chose à raconter d’intéressant. Tout le monde s’en fou de ce que j’ai fait, surtout que j’ai pratiqué les activités moyennes du bon vacancier, c’est-à-dire bronzette, repos, siestes, shopping, bonnes bouffe… Et puis, comme à mon habitude, j’ai acheté tout ce que je n’ai pas le temps d’acheter en fringue ici. L’Italie est également un très bon pays pour les yeux. Il y a tellement de filles sublimes. C’est un vrai plaisir !

Comme je le disais au début, ces vacances m’ont permise de réfléchir… (bientôt la suite)

0 0 votes
Évaluation de l'article
0 0 votes
Évaluation de l'article
S’abonner
Notification pour

0 Commentaires
Commentaires en ligne
Afficher tous les commentaires

Site Footer

0
Nous aimerions avoir votre avis, veuillez laisser un commentaire.x